Biographe des femmes et des familles : photo de Natacha en train d'écrire au clavier ©Filiaplume

Aider les femmes à prendre la parole

Filiaplume…
Un nom qui n’a pas été choisi au hasard.
Filia comme filiation ?
Oui, pour porter l’histoire des familles.
Mais Filiaplume est aussi…
la « plume des filles ».

Pourquoi je suis devenue biographe

Quand j’ai créé mon entreprise, j’aurais pu simplement l’appeler Natacha Colbert EI. Mais je voulais lui choisir un nom, lui offrir sa propre identité.

J’ai longtemps réfléchi. Et exploré mes motivations. Pourquoi avais-je eu envie de devenir biographe ? Qu’est-ce qui me poussait à vouloir écrire la vie des gens ? Pour le comprendre, je suis remontée aux origines, dans les années 1980.

Mon petit frère

Enfant, je rêvais d’une grande famille, de vacances au soleil avec mes cousins et cousines, de repas interminables, de joyeuses fêtes au bord d’une piscine… J’adorais regarder la série Une famille formidable avec Bernard Lecoq et Anny Duperey. Vous connaissez ?

Cette famille idéale n’était pas seulement une construction imaginaire de mon âme d’enfant. Elle existait vraiment… à 5 000 kilomètres de ma Normandie natale. Ce n’est que lors d’un court voyage d’été, à 11 ans, que j’ai pu m’amuser avec mes cousins et cousines québecois. Au quotidien, mon unique compagnon de jeux était mon petit frère.

Photo familiale (image protégée - ©Filiaplume)

Je sais donc l’importance de la famille et la richesse des liens partagés. Quand la distance rend les relations épisodiques, il est douloureux de vivre loin d’une partie de ses racines.

Mes deux grands-mères

Je n’ai pas connu mes grands-pères. Mais j’étais proche de mes deux grands-mères, malgré l’océan qui les séparait. Cette photo illustre le seul moment où nous avons été toutes les trois réunies.

Photo familiale (image protégée - ©Filiaplume)

J’allais chez Mamie, à Caen, tous les mercredis. Et j’écrivais à Grand-Maman (du Canada) plusieurs fois par an.

Quand je suis devenue maman, ma grand-mère québecoise s’est adressée à moi de femme à femme. Elle m’a envoyé des lettres sincères et touchantes, où elle me racontait son histoire. Un destin contrarié par les injonctions de l’époque : se marier avec un « gars du village » et faire des enfants (ma mère est l’aînée d’une fratrie de huit).

Paradoxalement, je connais moins la vie de ma grand-mère française. Née en 1911, elle évoquait rarement son enfance d’orpheline de guerre. Je me souviens juste de son récit de la libération de la ville de Caen, après le débarquement du 6 juin 1944. Elle a vécu la terreur des bombardements, tapie dans l’église Saint-Étienne pendant plusieurs jours, avec plus de 1 000 autres Caennais.

Je regrette aujourd’hui de ne pas l’avoir davantage interrogée. Qui était cette belle jeune femme sur les photos des années 30 ? Quels étaient ses rêves, ses ambitions, ses amis ? Comment a-t-elle rencontré mon grand-père, de dix ans son aîné ?

Mon intérêt pour les récits de vie

Dotée d’une (saine) curiosité naturelle, je me suis toujours posé beaucoup de questions. J’aime observer les gens, les écouter, les comprendre. J’ai longtemps cherché où était ma place (pour découvrir, à 48 ans, grâce à mes enfants, que j’étais zèbre).

Biographe femmes : fiches biographiques de Natacha (image protégée - ©Filiaplume)

Au lycée, je créais des fiches sur des personnes célèbres : écrivains, musiciens, philosophes. Je m’interrogeais sur ce qui fait une vie. Sur cette photo, comme vous le voyez, ce sont tous des hommes. Je n’en avais pas conscience à l’époque. Les femmes n’ont-elles donc joué aucun rôle dans l’Histoire ?

Biographe femmes : couverture de la biographie de Constance Lloyd, Madame Oscar Wilde

Il est vrai que les biographies de femmes sont rares. Ou alors, elles sont « femmes de », cachées dans l’ombre de leurs illustres maris. J’ai découvert ainsi la vie de Constance Lloyd, l’épouse d’Oscar Wilde. Quand il fut condamné à la prison pour homosexualité, en 1895, elle dût faire face au scandale et élever seule leurs deux fils.

Écrire pour les familles

Aujourd’hui, je suis biographe familiale. J’écris l’histoire des gens, hommes et femmes. Ma plume recueille les souvenirs heureux, les mots d’amour, les fières réussites. Mais aussi les colères, les drames et les ruptures douloureuses.

Biographe femmes : de vieilles lettres et documents jaunis, avec un porte-plume et de l'encre

Derrière chaque photo, chaque lettre, chaque carte postale se cachent des instants du quotidien, des rencontres, des émotions. J’aime les faire émerger, les regarder s’écouler en paroles libérées, les saisir pour les collecter. Avec mon clavier, j’assemble ces petites pièces disparates pour créer un puzzle complet. Chaque livre est un tout, singulier et authentique. L’histoire d’une personne, d’une vie, d’une famille.

Petite ou grande, proche ou séparée, unie ou dissociée, chaque famille est unique. La biographie aide ses membres à retisser des liens : grands-parents, parents, enfants… Ce beau projet les amène à dialoguer, pour se découvrir et avancer ensemble. Ils posent par écrit une brique de leur mémoire commune, pour transmettre aux générations futures le fil de leur histoire.

Nous avons tous besoin de connaître nos racines.

Mettre les femmes en lumière

Je le constate en tant que biographe : les femmes ont tendance à rester dans l’ombre. Elles n’osent pas prendre la parole, souvent persuadées que leurs mots sont moins intéressants, leur vie moins palpitante, leur message moins impactant.

J’ai donc créé Filiaplume, la « plume des filles » (filia veut dire fille, en latin).

Chaque femme est la fille de ses parents. Et cette petite fille nous accompagne, tout au long de notre existence. Cette petite fille avait une personnalité, des sentiments, des rêves, des ambitions… Que sont-ils devenus aujourd’hui ?

Biographe des femmes : une petite fille qui trace un cœur sur le sable

La petite Natacha est longtemps restée tapie au fond de mon cœur, apeurée. En grandissant, à l’âge adulte, j’ai oublié celle que j’étais. Il m’a fallu traverser bien des épreuves avant de renouer le contact avec mon enfant intérieure. Grâce aux mots, dits et écrits, j’ai réussi à la comprendre, à la rassurer et à l’aimer.

Je crois au pouvoir des mots. En faisant appel à un biographe, vous mettez en mots, à l’oral puis sur le papier. C’est une expérience forte, qui change une vie.

Filiaplume, votre biographe

Biographe Caen Filiaplume Logo : le mot filiaplume avec un oiseau en fil noir

Femme ou homme, si vous lisez ce site, vous avez certainement un message à diffuser :

  • raconter votre parcours
  • dire votre amour
  • partager un témoignage
  • vous délivrer d’un secret
  • transmettre l’histoire familiale…

Pourquoi ne pas le faire dans un livre, le plus beau des écrins ?

Formation et certifications

J’ai appris le métier de biographe auprès d’Anne-Sylvie Pinel, plume de vie et formatrice :

Devenir biographe : certificat de Natacha Colbert Filiaplume

Afin de vous garantir une excellente qualité d’écriture, je me forme en permanence à la rédaction.

En 2023, j’ai passé le Certificat Voltaire et obtenu la reconnaissance de mon niveau « expert » en orthographe, avec un score de 981/1000 :

Logo de Filiaplume Biographe Caen : un oiseau noir sur fond transparent

ABCDE… Filiaplume

A comme Authenticité
Je veille à écrire un texte fidèle à votre histoire, conforme à vos attentes et agréable à lire. J’assemble les éléments de votre récit oral pour créer un manuscrit complet, unique, qui vous ressemble.

B comme Bienveillance
Je vous écoute raconter votre vie dans toutes ses nuances, sans vous juger. Positive et calme, j’accepte toutes vos remarques sur mon travail, si elles sont formulées avec franchise et respect.

C comme Confiance
Je vous envoie par mail tous les documents (devis, factures, textes). Pendant toute la durée de votre projet, je suis disponible par mail ou téléphone pour répondre à vos questions.

D comme Discrétion
Je m’engage à respecter la confidentialité de nos échanges. Parlez librement. Si vous désirez que certaines de vos paroles n’apparaissent pas dans votre livre, il vous suffit de me le dire.

E comme Édition
Quand votre manuscrit est prêt, je vous guide pour son édition : impression pour la famille, mise en vente en auto-édition ou recherche d’un éditeur, c’est vous qui décidez.